mai 2017

L'état d'urgence, en vigueur en Tunisie depuis un an et demi suite à une série d'attentats jihadistes sanglants, a été ,prolongé d'un mois, a indiqué mardi à l'AFP une source à la présidence tunisienne.

Le chef de l'Etat Béji Caïd Essebsi "a décidé, après des consultations avec le chef du gouvernement et le président de l'Assemblée des représentants du peuple, de prolonger d'un mois l'état d'urgence à partir d'aujourd'hui", le 16 mai, a dit cette source.

La prolongation de cette mesure d'exception est nécessaire en raison de "la poursuite de la guerre contre le terrorisme", a-t-elle ajouté.

L'état d'urgence octroie des pouvoirs d'exception aux forces de l'ordre. Il permet aussi l'interdiction des grèves et des réunions "de nature à provoquer (...) le désordre", ou encore l'adoption de mesures "pour assurer le contrôle de la presse".

Cette mesure est en vigueur depuis un attentat contre la garde présidentielle le 24 novembre 2015 en plein Tunis. Douze agents avaient été tués dans cette attaque revendiquée par le groupe extrémiste Etat islamique (EI).

Deux autres attaques majeures revendiquées par l'EI avaient eu lieu en mars et juin 2015, respectivement au musée du Bardo à Tunis ainsi que sur une plage et dans un hôtel de Sousse (est). Soixante personnes, dont 59 touristes étrangers, avaient été tuées.

Les autorités affirment avoir fait "des pas très importants dans la guerre contre le terrorisme" mais appellent toujours à la vigilance, et des démantèlements de cellules jihadistes sont régulièrement annoncés.

"La situation sécuritaire est sous contrôle mais les menaces existent toujours", a déclaré le chef du gouvernement Youssef Chahed fin avril, après une opération antiterroriste à Sidi Bouzid (centre).

Tunis, 12 mai 2017 (TAP) - Le ministre des affaires étrangères, Khemaies Jhinaoui, a annoncé qu'une deuxième visite sera effectuée prochainement en Libye pour traiter le dossier des enfants tunisiens maintenus dans les prisons libyennes, et ce après concertation avec les autorités libyennes.

"Une délégation tunisienne s'était rendue une première fois en Libye mais n’avait pas trouvé de terrain d’entente avec la partie libyenne et nous allons poursuivre nos démarches pour atteindre nos objectifs", a-t-il indiqué à l'agence TAP, vendredi après-midi, au terme d'une entrevue avec Fayez Sarraj, chef du gouvernement libyen d'entente nationale, et son homologue libyen Mohamed Taher Sayala.

Jhinaoui a précisé qu'il a examiné avec Fayez Sarraj les dossiers tuniso-libyens portant notamment sur les dettes libyennes envers les cliniques tunisiennes, les mesures de simplification de l'écoulement des marchandises et des personnes par les terminaux frontaliers et les enfants tunisiens détenus dans les prisons libyennes.

"Nous sommes convenus de prendre certains mesures pratiques à même de faire progresser ces dossiers", a-t-il ajouté sans autres précisions.

Une délégation de six ministères tunisiens devait se rendre début mars dernier en Libye pour rapatrier des enfants tunisiens détenus dans la prison de Maitigua à Tripoli ainsi qu’un autre groupe d'enfants présumés installés dans l'hôpital de Musrata, après accord avec le chef du gouvernement libyen d'entente nationale, rappelle-t-on.

Mais l'envoi de la délégation avait été reportée en attendant de parachever les procédures nécessaires à l'organisation de la visite et réunir les conditions de la réussite de la mission.

RATTA a été invité par le Club de Madrid (CdM) au Forum régional MENA, dans le cadre du projet Prévenir l'extrémisme violent: les dirigeants racontant une autre histoire, à Tunis, en Tunisie, les 4 et 5 mai 2017.

PVE: Les dirigeants racontant une autre histoire sont soutenus par la DEVCO de la Commission européenne. L'objectif de ce projet de 12 mois est d'améliorer les réponses nationales et régionales aux menaces d'extrémisme violent en créant des contre-récits plus efficaces qui peuvent servir à relever les messages extrémistes violents et à renforcer la résilience des groupes vulnérables. Les recommandations seront basées sur une analyse fondée sur des preuves de groupes de discussion dans 3 pays qui sont particulièrement exposés à cette violence: le Nigéria, la Tunisie et le Liban.

Le Forum régional MENA (du 4 au 5 mai) cherche à être l'occasion unique de rassembler les membres du CdM avec des interlocuteurs régionaux et nationaux clés afin de discuter de la façon de repenser le débat narratif en élaborant des recommandations fondées sur des données probantes sur des stratégies de communication efficaces, Messagerie et contre-récit. Cette réunion rassemblera jusqu'à 50 participants de grande envergure d'organisations régionales multilatérales, les gouvernements et la société civile forment la région dans le but de partager les expériences et les meilleures pratiques et de renforcer les réseaux et les pratiques dans ce domaine.

With Mr. Peter Roman : Prime Minister of Romania (1989- 1991)





With Mr. Sadig AL MAHDI: Prime Minister Sudan ( 1966-1967; 1986 -1989)







With Mr. Hamadi DJBELI : Prime Minister TUNISIA ( 2011 - 2013 )

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